Séance du 24 novembre 2022 – Écriture et information. Comment comprendre que ce qu’il est convenu de désigner comme « dématérialisation » dans le contexte des nébuleuses numériques demeure à l’écart de la sphère des idéalités abstraites, même numériques ? En quel sens alors peut-on dire que l’information (au sens de l’informaticien : discrète et non probabiliste) n’est pas une abstraction ? Quel double jeu étrange joue ainsi l’écriture si elle semble convenir aussi bien aux pratiques formelles qu’aux pratiques informationnelles (allusion, par exemple, aux légendaires « 0 » et « 1 ») ?